Octave Mirbeau
Octave Henri Marie Mirbeau (16 de fevereiro de 1848, em Trevieres, Calvados, França – 16 de fevereiro de 1917, em Cimetière de Passy, Paris, França) foi um crítico de arte e novelista francês.
Octave Mirbeau |
---|
![]() |
Octave Mirbeau em outros projetos: |
- "Não odeio ninguém, nem mesmo o maldoso. Tenha pena dele, porque nunca conhecerá o único gozo que consola a vida: fazer o bem."
- - Ne hais personne, pas même le méchant. Plains-le, car il ne connaîtra jamais la seule jouissance qui console de vivre : faire le bien.
- - Lettres de ma chaumière (1885), Octave Mirbeau, éd. Laurent, 1885, p. 5
- "Os burguêses odiam os trabalhadores, os trabalhadores odeiam os vagabundos, os vagabundos procuram mais vagabudos para que eles tenham alguém a desprezar, odiar".
- - Les bourgeois détestent les ouvriers, les ouvriers détestent les vagabonds, les vagabonds cherchent plus vagabonds qu’eux pour avoir aussi quelqu’un à mépriser, à détester.
- - do livro "Sébastien Roch" (1890), Octave Mirbeau, éd. Sébastien Roch (1890), Octave Mirbeau, ed. du Boucher, 2003, chap. Boucher's, 2003, chap. II, 2, p. II, 2, p. 230
- - Si pauvre qu'il soit, un homme ne vit pas que de pain. Il a droit, comme les riches, à la beauté.
- - Les Mauvais bergers (1897), Octave Mirbeau, éd. Eurédit, 2003, chap. III, 5, p. 99
- "O ridículo não existe. Os que ousaram desafiá-lo de frente conquistaram o mundo."

- - Le ridicule n’existe pas : ceux qui osèrent le braver en face conquirent le monde .
- - La Gloire des Lettres; Le Journal, 21 juillet 1895.